Le rire du crocolion · Occasion

Quatrième de couverture : Le rire du crocolion Juin 1948. Dans les mines d'ardoises de Trélazé, Yves Couadic, un jeune mineur, meurt accidentellement dans une galerie au fond de la mine. Les mineurs reprochent au chef clerc Jean-Marie Levilain de ne pas avoir porté secours à Couadic. Une émeute s'ensuit et le directeur de la mine, qui est aussi le père de Levilain, éloigne son fils pour calmer les esprits. Dix ans plus tard, au cours de la bataille d'Alger, Levilain, qui est devenu capitaine dans une unité de parachutistes, retrouve dans son bataillon un certain Alain Couadic, un jeune appelé qui n'est autre que le frère d'Yves, le mineur mort au fond de la mine de Trélazé. Les deux hommes vont être tués par le FLN au cours d'une opération de maintien de l'ordre dans la Casbah d'Alger. Le temps a fait son oeuvre, cette histoire est tombée peu à peu dans l'oubli... L'as des as de la police française, le commissaire Max Guillemot, a pris sa retraite depuis peu. Il est appelé au chevet d'une vieille dame mourante, la mère des frères Couadic. Elle révèle à Max que son copain d'enfance Alain n'est pas mort comme on veut le faire croire mais qu'il vit en Algérie. Max est perplexe mais elle insiste et, pour qu'elle puisse mourir en paix, il lui promet de rechercher un certain Benarbi que Mme Couadic désigne comme agent de liaison entre elle et son fils. Guillemot se rend au cimetière de Trélazé où, selon ses dires, Mme Couadic a caché les preuves de ce qu'elle avance. Lorsqu'il arrive sur les lieux, c'est pour voir un homme s'enfuir et constater que les preuves ont disparu. Aussitôt, des événements tragiques vont s'enchaîner qui vont inciter Max à reprendre du service pour une dernière enquête qui va le mener à Alger, au coeur de la Casbah, aux prises avec la mafia algéroise...

Biographie de l'auteur : Jean-Pierre Jub est écrivain voyageur, après plusieurs récits de voyage, il signe ici son premier polar.