Printemps acide : polar

Quatrième de couverture : Printemps acide Nom : Le Stang. Prénom : Roch. Age : 46 ans et des broutilles. Raison sociale : commissaire divisionnaire, patron de la DIPJ de Bordeaux. Signe particulier : Breton abrupt, taillé dans le granité. Pourquoi cette convocation du directeur général de la « Grande maison » et cette brillante promotion au rang de contrôleur général sonnent-elles pour lui comme une sanction, une mise à l'écart, un avertissement qui viendrait « d'en haut » ? C'est le début de cinq jours tous. Cinq jours haletants. Une enquête explosive aux lisières du pouvoir dont il sortira meurtri. Et si, ressurgie d'un passé oublié, Claire était la clé de tout... ? Fantômes du passé, assassinats, filatures, interrogatoires, écoutes téléphoniques, réseaux d'influence et machination impliquant des politiques au plus haut niveau... Tels sont les ingrédients de ce brillant polar à la française au style enlevé, à l'humour acéré.

Biographie de l'auteur : Patrick Tudoret est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages - romans, essais, récits - parus notamment aux Éditions de La Table Ronde (groupe Gallimard), chez Grasset et aux Belles Lettres, et de pièces de théâtre jouées à Paris et en province. Ses livres lui ont valu plusieurs prix littéraires dont le Grand Prix de la Critique, en 2009. Son dernier roman, L'homme qui fuyait le Nobel (Grasset), a obtenu en 2016 le Prix Claude-Farrère et le Prix des Grands Espaces. Il vient de publier une biographie : Fromentin, le roman d'une vie, aux Éditions Les Belles Lettres.