Sans perdre de vue... : culture et techno-science, intégration africaine, philosophie égyptienne africaine : colloques et universiades · Occasion
Robert Ndebi Biya
Quatrième de couverture : La récente crise de valeurs de la post-modernité tend à la confusion de tout. Sans perdre de vue la différence plus ou moins différenciée des époques antérieures, nous ne sommes pas encore totalement convertis à l'esprit du temps, au nivellement des écarts, par conséquent à la négation de la culture opposée à la nature. La fin de l'absolutisme de la techno-science a-t-elle sonné ? D'ores et déjà elle doit composer et se réconcilier d'une part avec les règles de l'art, de la religion et de la philosophie, et d'autre part avec les contenus du développement, de la culture, de la gouvernance et de l'éthique. L'Afrique de l'insignifiance mise en orbite, conservera-t-elle un vestige dans le vertige du vaste mouvement interplanétaire ou les rapprochements et les constitutions d'immenses blocs se font, se défont et se refont ? Le vieux continent se soucie-t-il de son unité héritée de la providence créatrice, mais longtemps hypothéquée par l'étranger, l'animal raisonnable ? Historiens, archéologues, anthropologues, linguistes et autres soulignent ce jour, à grand renfort, la source originelle des cultures africaines dans l'Egypte ancienne pharaonique. Mais ne s'agit-il pas de l'ontologie africaine à la redécouverte de son identité pharao-égyptienne. Loin de s'enfermer dans la revendication stérile d'une noblesse certes significative, l'Afrique vise l'objectif, la reconstruction d'une nouvelle unité, celle de ses différentes régions. L'impératif immédiat ne consiste-t-il pas dans une dynamique de l'intégration régionale ? Celle-ci mobilise toutes les forces de la société, à l'exclusion d'aucune, et surtout pas de l'élite et de la religion, considérées ailleurs respectivement comme bourgeoisie et opium, antidote contre la révolution, illuministe pour nous, de la classe non moins nébuleuse des spoliés et exploités.
Biographie de l'auteur : Ndebi Biya Robert est né le 12 mai 1946 à Metet (Cameroun). Ordonné prêtre catholique en 1978, il enseigne la philosophie parallèlement au Grand Séminaire de Yaoundé. En 1993, l'Abbé Ndebi Biya Robert est nommé Vicaire général. Il a soutenu sa thèse d'état en 1986, l'être comme génération. Il devient Maître de conférences, Professeur de rang magistral en 1998. Le professeur est nommé Recteur d'un Grand Séminaire (philosophat) à vocation universitaire en l'an 2001 dans la Province écclésiastique de Douala, dont le campus se trouve à Bafoussam. Enfin l'Abbé-professeur est auteur de nombreux articles et de 3 autres ouvrages : Être, pouvoir et génération - Système Mbok chez les Bassa du Sud-Cameroun, l'Harmattan, Paris, 1986. L'Être comme génération : Essai critique d'une anthologie d'inspiration africaine, CERIT, Strasbourg, 1995. Essai sur l'Afrique : religion, Etat et politique économique.
Informations générales |
Désignation |
Sans perdre de vue... : culture et techno-science, intégration africaine, philosophie égyptienne africaine : colloques et universiades · Occasion |
Caractéristiques du livre |
Type de produit |
Livre |
Public |
Public motivé | |
Thème |
Religions et spiritualité / Christianisme / Christianisme et société | |
Date de parution |
15/01/2005 | |
Format |
Broché | |
Nombre de pages |
119 | |
Auteur(s) |
Robert Ndebi Biya (Auteur) | |
Editeur |
L'Harmattan | |
Langue |
français | |
Hauteur |
22 cm | |
Largeur |
14 cm | |
Epaisseur |
0.7 cm | |
Poids |
100 g | |
Garanties |
Garantie légale |
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