Les petites filles modèles · Occasion

Quatrième de couverture : Une sélection de grands textes de la littérature française et étrangère en version intégrale, accessibles aux plus jeunes lecteurs. Les textes sont accompagnés de nombreuses illustrations en couleurs. Modèles, Camille et Madeleine de Fleurville le sont assurément ! Âgées de 8 et de 7 ans, les deux soeurs sont si bonnes, si généreuses et si aimables qu'à leur contact la petite Marguerite de Rosbourg, qui vit avec elles au château, apprend à modérer ses emportements. Même Sophie, la malheureuse orpheline battue par sa belle-mère Mme Fichini et dont les bêtises sont innombrables (et mémorables !), tentera de progresser pour plaire à ses douces amies...

Biographie de l'auteur : Née à Montpellier en 1977, Claire Degans a suivi des études d'art et d'esthétique dans sa ville natale puis à Paris. Après avoir travaillé pendant deux ans comme directrice artistique en agence, elle a choisi de se consacrer entièrement à l'illustration, à la gravure et à la peinture, alternant expositions et publications d'albums pour la jeunesse. La comtesse de Ségur (de son vrai nom Sophie Rostopchine) est née le 1er août 1799 à Saint-Pétersbourg. Elle était la fille du comte Rostopchine, ministre du tsar Paul Ier et gouverneur de Moscou, et passa toute son enfance dans son domaine de Voronovo. Tombée en disgrâce, la famille Rostopchine dut quitter le pays pour se réfugier en France en 1817. Deux ans plus tard, Sophie épousa le comte Eugène de Ségur. Huit enfants naquirent de cette union. C'est seulement à l'âge de 58 ans que la comtesse de Ségur publia son premier livre. Elle avait en effet pris l'habitude de raconter des histoires à ses petits-enfants, et lorsque deux d'entre elles, Camille et Madeleine de Malaret, durent s'exiler à Londres, elle se mit à rédiger ces histoires, qui devinrent rapidement très célèbres. Entre 1857 et 1872, elle publia ainsi plus de vingt romans dans la collection de la Bibliothèque rose, qui mettent en scène des enfants dans leur vie quotidienne, où le bien l'emporte toujours sur le mal et où il est possible de corriger ses défauts. Elle est morte à Paris, le 9 février 1874.