Blanche, terre verte : roman historique · Occasion

Quatrième de couverture : An Mil. Les vikings découvrent une grande étendue blanche et glacée. Afin de mieux y attirer les colons, ils la nomment Groenland : « Terre Verte ». Plusieurs milliers de Scandinaves y fondent des villages. Ils entretiennent alors avec l'Europe un commerce d'ivoire de morse, de dents de narval et de faucons dressés. Fin du 14e siècle. L'ivoire de morse subit la concurrence implacable de l'ivoire d'éléphant, plus simple à acquérir. L'Europe médiévale se met à oublier, peu à peu, ces colons. Abandonnés aux confins du monde connu, ils deviennent de véritables naufragés. Face à cette catastrophe, beaucoup s'obstinent à nier la réalité, quand d'autres comprennent qu'il faut s'adapter pour survivre. Le jarl Olaf, chef de la colonie, refuse d'admettre que les navires européens ne reviendront plus jamais. Les nobles vont s'arc-bouter sur leurs privilèges. Le fauconnier Thorvald va mener la révolte. Cette société livrée à elle-même va sombrer dans le chaos, mais aussi se confronter à ses curieux voisins : les Inuits.